C’était au cours des échanges avec les journalistes nationaux accrédités.
«Tout est en train d’être fait pour que la 16e édition de la Tropicale Amissa Bongo se tienne dans de meilleures conditions du 23 au 29 janvier 2023, après deux années d’arrêt. La reprise n’est pas facile, mais les choses vont s’améliorer. Le fait que les gens sont contents qu’on reprenne, nous motive encore plus». C’est en ces termes que Benjamin Burlot, Coordonnateur général de la Tropicale Amissa Bongo, s’est exprimé récemment au cours des échanges avec les journalistes accrédités pour couvrir la compétition.
Un peu avant le Coordonnateur, c’est le responsable de la communication de la Tropicale, Serge Aimé Lafleur, qui a présenté aux journalistes, la feuille de route relative aux médias. Ce qui va être fait pour faciliter le travail des femmes et des hommes des médias. Ce que l’organisation attend d’eux : «un travail rigoureux et prompt», a indiqué Serge Aimé Lafleur.
Le responsable de la communication n’a pas manqué de relever l’importance de cette épreuve cycliste au niveau national, continental et mondial.
D’ailleurs, les organisateurs de la tropicale Amissa Bongo qui attachent du prix à la promotion de cette compétition ont récemment distribué quelque 14 500 «schoolbook» aux élèves des écoles proches des circuits qu’emprunteront les cyclistes cette année. Une action positive qui vise à faire connaitre cette grande compétition aux enfants et pourquoi pas les amener à devenir des grands champions de la petite reine de demain, pour défendre les couleurs nationales.
Lancée en 2006, la Tropicale Amissa Bongo va se disputer dans sa 16e édition, après deux années d’interruption en raison de la pandémie du Coronavirus Covid 19. Elle verra la participation de quelque quatre-vingt-dix cyclistes de quinze équipes dont cinq professionnelles et dix africaines.